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La révolution du cheikh zerdoud oueld meneda et de la tribu des béni Mohammed de la marsa en 1841 Ououoo10
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La révolution du cheikh zerdoud oueld meneda et de la tribu des béni Mohammed de la marsa en 1841 Colomb10
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La révolution du cheikh zerdoud oueld meneda et de la tribu des béni Mohammed de la marsa en 1841 Colomb10احتراماتي للجميع

 

 La révolution du cheikh zerdoud oueld meneda et de la tribu des béni Mohammed de la marsa en 1841

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La révolution du cheikh zerdoud oueld meneda et de la tribu des béni Mohammed de la marsa en 1841


SELON ROZZET ET CARETTE « DESCRIPTION DE L’ALGERIE»
Branes Abdellah Avril 2011


Vers la fin de 1841, un marabout de la tribu des Beni-Mohammed, qui occupe le cap de Fer à l’extrémité de la chaîne,s’imagina que la Providence l’avait choisi pour être le libérateur de sa patrie. Ce nouveau Pierre-l’Ermite se mit donc à parcourir toutes les tribus de l’Edough et à y prêcher la guerre sainte.

De là il pénétra dans les montagnes du Zerdêza, qui s’élèvent de l’autre côté du lac(1), et chercha ainsi à y ranimer le fanatisme de ses co-religionnaires.

Quoique les populations de ces montagnes ne soient pas plus belliqueuses que ne le sont en général les tribus de la province de Constantine, cependant Si-Zerdoud parvint à trouver des auditeurs qui crurent en lui et prirent les armes.

Deux actes d’hostilité préludèrent à cette petite croisade:un offi cier envoyé avec une faible escorte sur le marché des Beni-Mohammed près du cap de Fer y fut assassiné de la main même de Zerdoud. Peu de temps après le camp d’El-Harrouch fut attaqué par les tribus du Zerdêza, à la tête desquelles fi gurait encore Zerdoud.

En même temps des actes de brigandage isolés, provoqués par les prédications du marabout, furent commis dans la plaine de Bône, ordinairement si sûre et si tranquille. Dans l’espace de quelques jours Si-Zerdoud devint la terreur de toute la contrée. Informé de ces événements, le général Baraguay d’Hilliers,

que les Arabes appellent Bou-Dera (l’homme au bras), à cause d’une glorieuse infi rmité, le général Baraguay d’Hilliers prit ses mesures pour mettre à la raison ce fanatique et ses adhérents.

Trois colonnes partirent à la fois de Constantine, de Philippeville et de Bône, et se dirigèrent vers le massif isolé de l’Edough. La vigueur et l’ensemble de ces opérations combinées ne tardèrent pas à amener la soumission du Zerdêza.

Cependant Si-Zerdoud, retiré dans le Djebel-Edough, y continuait ses prédications et y entretenait la résistance. Mais elle ne fut pas de longue durée. Les trois colonnes pénétrèrent dans la montagne par la plaine du lac, c’est-à-dire par le sud, et après avoir traversé la chaîne à la hauteur du port de Takkouch, fi nirent par acculer les insurgés dans la petite pointe de terre occupée par le marabout de Sidi-Akkêcha. Les montagnards demandèrent l’aman, qui leur fut aussitôt accordé ; mais pendant les pourparlers de soumission un coup de fusil parti de la broussaille vint blesser à côté du général un de ses mkahli ou hommes armes indigènes. Aussitôt la trêve fut rompue; le général français, indigné d’une aussi odieuse infraction aux lois de la guerre, donna l’ordre de tout massacrer, et cet ordre fut exécuté

sur-le-champ. Quelques Arabes, placés dans l’impossibilité de fuir autrement, tentèrent un moyen désespéré de salut en se jetant à la mer : ils se noyèrent; les autres, au nombre d’une centaine, furent impitoyablement égorgés.

Cet acte de rigueur, ordonné et accompli immédiatement après l’attentat qui l’avait provoqué, cette punition terrible mais subite d’un crime fl agrant produisit une impression profonde sur toutes les tribus. Dans une vengeance aussi prompte, aussi éclatante que la foudre, elles crurent voir la trace du doigt de Dieu. Au moment de l’exécution c’était une rigueur salutaire;

une heure après ce n’eût été qu’une barbarie inutile.

Cependant l’auteur de l’insurrection, le marabout Zerdoud, n’était point au nombre des victimes; on sut bientôt qu’au moment où les Arabes s’étaient décidés à demander l’aman il s’était jeté dans les bois avec quelques partisans exaltés, et avait ainsi échappé au massacre.

Mais l’effroi répandu dans toute la contrée par l’hécatombe de Sidi-Akkêcha devait produire ses fruits.

Quelques jours après un indigène se présentait à la porte du commandant supérieur de Philippeville, et demandait à lui parler en secret. C’était le secrétaire de Zerdoud ; il venait offrir de livrer son maître.

Une petite colonne partit aussitôt, sous la conduite de ce guide, et força la marche en suivant ses traces. Elle pénétra dans les montagnes par les forêts qui en couvrent les versants méridionaux au sud de Sidi-Akkêcha. On arriva ainsi au-dessus d’un ravin profond couvert d’épaisses broussailles. Alors le guide, élevant la main dans la direction où la gorge paraissait se rétrécir

et s’approfondir le plus, dit à voix basse au chef de la colonne :

C’est là.

A l’instant les soldats se mirent en devoir de cerner le point indiqué; mais avant que ce mouvement ait pu s’exécuter d’une manière complète le bruit de la marche des troupes dans le fourré s’était fait entendre jusqu’au fond de ces retraites silencieuses.

Tout à coup le massif de broussailles qui cachait le fond du ravin s’agita d’une manière étrange. Un homme en sortit. - C’est lui, dit tout bas le guide.

Aussitôt le bruit d’une décharge de mousqueterie fi t retentir les échos de la montagne.

Zerdoud tomba pour ne plus se relever. Sa tête et son bras furent, séparés de son corps, pour être exposes aux yeux de tous les Arabes, comme le seul acte de décès auquel ils pussent ajouter foi. C’était le moyen d’ôter tout prétexte à des contes absurdes et de prévenir de nouveaux malheurs.

Depuis cette époque l’Edough est demeuré fi dèle aux promesses de soumission qu’il avait faites et au besoin de tranquillité qu’il éprouve. Non-seulement les montagnards viennent comme par le passé apporter à Bône les produits de leur modeste industrie; mais ils accueillent avec une hospitalité cordiale les Français qui leur rendent visite.

Les habitants de Takkouch ont demandé la création d’un établissement français à côté de leur port, qui offrirait ainsi un débouché à leurs produits. Ils ont offert de former une garde nationale pour contribuer à la défense de ce port.

Devant le pic d’Aïn-bou-Sis, sur le col appelé Fedj-el-Mâdel, s’est élevé un petit village français, composé de trois ou quatre maisons. Là sans fossé, sans mur d’enceinte, sans haie même, vivent en cénobites quelques gardes forestiers. Une route tracée par les ordres du général Randon conduit à cet établissement, qui, placé à cinq lieues de Bône, parmi les bois et les montagnes, jouit d’une sécurité que rien jusqu’à ce jour n’est venu

troubler.

Dans le cours de l’été 1845 nous parcourions le théâtre des événements qui viennent d’être racontés. En passant auprès d’un ravin désert, silencieux, Sauvage, les Arabes qui nous accompa

gnaient quittèrent un moment la route, et s’approchèrent avec respect d’un petit dé en maçonnerie blanche, à demi caché dans les broussailles ; c’était la tombe de Zerdoud.

Quelques jours après, en descendant, à la tombée de la nuit, le défi lé, d’Aoun, pour aller camper dans la plaine située en arrière du cap de Fer , nous aperçûmes sur la gauche, dans une anfractuosité déserte de la montagne, une tente isolée au fond de laquelle brillait une lumière. Tous les regards de nos guides indigènes se portèrent à la fois vers ce point; nous traversions la tribu des Beni-Mohammed, où l’insurrection avait pris naissance: cette tente solitaire avait été celle de l’agitateur, elle abritait encore sa veuve et son fils.
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